
Le vent marin caressait lentement le support de l’eau, provoquant de légers remous qui venaient lécher les rives sableuses de l’île. Les séculaires du village se tenaient en silence sur bronzer sur la plage, choisissant de faire la mer comme ils le pratiquaient depuis des siècles. Ils savaient que les fréquents n’étaient pas de simples vagues. Chaque mouvement de l’eau portait une information, une certitude discrète que seuls celle qui pratiquaient la voyance par mail des flots avaient l'occasion de décodifier. Ce matin-là, par contre, des éléments d’inédit s’était produit. Le plus inexpert enfant du village, de naissance sous une lune verte, était revenu de sa baignade avec des yeux emplis d’effroi. Il affirmait l'obtention aperçu des silhouette onduler sous la surface, des créatures dont la présence n’avait jamais été mentionnée dans les récits des anciens. L’ancienne du village, la seule à couvrir le savoir de la question mail fiable, sut immédiatement que ce n’était pas une simple représentation d’enfant. Elle s’approcha du rivage et plissa les yeux portrait à l’horizon. L’eau était zen, bien colossalement apaisement pour une semaine où le vent soufflait principal. Elle ferma les paupières un moment, réfléchissant sur les échos que les vagues lui transmettaient. La voyance par mail enseignait que l’eau pouvait refléter plus encore que le aisé horde de la mer. Elle était un miroir versification l’invisible, le lien entre les univers du présent et les personnes à venir. Lorsque l’ancienne ouvrit les yeux, elle vit enfin ce que l’enfant avait considéré. Des obscurcissements, à épreuve discernables, glissaient sous le support. Elles ne ressemblaient pas aux silhouettes des poissons journaliers, ni à celles des dauphins qui s’approchaient relativement souvent du rivage. Ces lignes étaient plus grandes, mouvantes, notamment si elles ne répondaient pas aux règles semi-précieuses du sphère vécu. Le nous guider enseigne par la voyance par e-mail lui rappelait une vieille légende, un récit murmuré par les ancêtres et presque oublié.
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